Allant à l’encontre des avis scientifiques, la France continue d’autoriser la pêche de la civelle, alevin de l’anguille européenne, en fixant des quotas incompatibles avec la survie de l’espèce. Si le trafic de civelles, extrêmement lucratif, est souvent pointé du doigt parmi les menaces, l’Etat lui-même porte en réalité une grande part de responsabilité. France Nature Environnement, la Fédération nationale de pêche, Nature Environnement 17 et la Fédération départementale de Charente-Maritime saisissent le Conseil d’Etat et dénoncent ces quotas de pêche dangereux.

Partager cet article

Répondre