Après trois ans d’attente, le 11 décembre prochain est audiencé devant la cour administrative d’appel, le dossier de la centrale électrique à biomasse de Gardanne dans les Bouches du Rhône. En juin 2017, le tribunal administratif de Marseille avait annulé l’arrêté préfectoral autorisant son exploitation. Le mouvement France Nature Environnement s’insurge devant l’obstination irrationnelle dont l’Etat fait preuve pour maintenir ce projet de centrale thermique aberrant d’un point de vue environnemental et financier. Un acharnement dont les motivations sont incompréhensibles tant les contreparties économiques et sociales sont sans rapport avec les conséquences écologiques majeures que cette méga-centrale va occasionner.

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