Condamnés une première fois pour avoir causé la destruction d’une espèce végétale protégée, de 500 mètres de littoral et l’installation illégale de mobil-homes, les gestionnaires du Palavas Camping viennent d’essuyer un nouveau revers. Le tribunal correctionnel de Montpellier vient de les condamner au paiement de 50 000 euros de dommages et intérêts à France Nature Environnement et ordonné une expertise judiciaire afin de réparer l’écosystème dunaire.

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